Scialets Neufs (Les)
44.926122,5.390688
Location
En résumé : Se garer au col de Proncel sur la RD 178. Passer à travers champs en contrebas, passer devant une ancienne bergerie puis suivre une sente qui amène à la doline de l'entrée. La cavité est pointée sur la carte au 1/25000. Compter une demi-heure de de marche. En détail : La cavité est indiquée d'un double point noir, sur la carte IGN 3236 ET. Par contre, la représentation des chemins et sentiers est peu fiable. De plus, ces chemins sont souvent barrés voire surveillés par des riverains, pas nécessairement dans leur bon droit, mais franchement déterminés.... De toutes façons tous ces chemins sont vite impraticables pour les véhicules de tourisme dès les premières intempéries (pluie ou neige). Pour se rendre à la cavité depuis le village de Vassieux, il est donc recommandé de se rendre en voiture jusqu'au col de Proncel (en direction de la Chapelle-en-Vercors) et d'y laisser les véhicules. La marche d'approche, peu accidentée, demande environ 20 à 40 minutes de marche selon la météo et le chargement. A partir du col de Proncel, vous contournerez par le sud le petit "serre" (colline) boisé dessiné en vert sur la carte IGN, entre le col et la cavité : - Descendre d'abord de quelques dizaines de mètres vers le sud-sud-ouest puis obliquer à gauche, à flanc nord de la dépression cotée 1059, pour passer contre une grange-bergerie (notée "Grge" sur la carte). Cet édifice peut constituer un abri salutaire lorsque les éléments se déchaînent. - Continuer est-sud-est en longeant le bois (vague sentier et clôture électrifiée occasionnelle) et en évitant de trop descendre dans la doline car il faudra ensuite la remonter. - A la fin de la remontée, sur un replat, on rencontre un vague chemin orienté nord-est / sud-est, qu'il faut prendre vers le sud-est (à droite) pendant quelques dizaines de mètres à peine. Juste le temps de contourner un nouvel espace boisé, qui marque la limite du lieu dit "Gros la Vache", indiqué sur la carte. Ce chemin, très bien indiqué sur la carte IGN jusqu'à la limite de la commune de la Chapelle, est en fait très peu visible. On peut être tenté de ne pas contourner le bois et de traverser le chemin et le fourré en continuant plein est. C'est possible, mais pas nécessairement plus rapide compte tenu des obstacles et du risque de tourner en rond.... - A l'extrémité sud de la partie boisée, juste après avoir enjambé une clôture électrifiée, obliquer très brusquement à gauche, vers l'est pour emprunter un autre vague chemin, indiqué comme un sentier sur la carte IGN. Le chemin, qui n'est plus emprunté par les voitures depuis 1994 environ, est très peu visible notamment lorsqu'il traverse l'espace dégagé du "Gros de la Vache". Quelques cairns et morceaux de rubalise essaient de le matérialiser. Il se distingue un peu mieux lorsqu'on pénètre à nouveau dans un espace boisé, après avoir enjambé une autre clôture électrifiée. - Après environ 150 mètres un peu sinueux et un franc virage plein est en descente, on débouche à nouveau dans un espace dégagé et le chemin s'évanouit encore. Il faut repérer un gros tas de cailloux sur la gauche (au nord). De ce tas de cailloux, de vagues sentiers plein nord amènent en limite de la zone dégagée et au bord de la doline qui abrite la cavité. - Lorsque le sol est glissant (pluie, neige), contourner largement par la droite l'orifice de la cavité, pour éviter une glissade dangereuse. Source : * Site archivé de l'ex CHV : chv-vassieux.pagesperso-orange.fr/mains/main2/cavi… (utiliser l'URL ci-dessus dans un site des archives du web pour retrouver ces pages, par exemple : web.archive.org)
Description
Description sommaire
La cavité est une sucession de puits jusqu'à la salle des 40 ans (-345 m). Quelques méandres, ou ressauts ne nécessitent pas de cordes. Dans la première grande salle, il est possible d'observer en hiver de gigantesques concrétions de glace. La suite de la cavité donne dans un petit conduit glacé dont l'entrée doit être cassée avec un marteau et un burin (la glace obstrue l'entrée du conduit selon les conditions climatiques). A partir de la salle des 40 Ans, la cavité est totalement différente. Quelques désescalades entre des blocs permettent d'accéder à deux salles concrétionnées, mais la progression s'effectue dans du mondmilch et de la glaise. Le terminus de la cavité donne sur un siphon qui été plongé en 2006 ; il s'agirait d'un siphon suspendu qui n'est pas pénétrable.
Description détaillée
Entrée L'entrée de la cavité, parmi trois orifices apparents, est maintenant bien identifiée par les traces de passage et par les quatre broches d'amarrage qui évitent la prolifération des spits et assurent une bonne sécurité. De 0 à -56 : Les puits et salle glacés Un premier puits P20 aux parois couvertes de glace en période froide est à purger si nécessaire avant d'arriver au sommet d'une pente de glace. On peut atteindre la salle par ce toboggan glacé, mais la corde a tndance à geler, et des blocs de glace semblent instables. Il est préférable d'équiper au delà d'une margelle de 1,5 mètres, le puits parallèle(P30) qui arrive au plafond de la salle. Le spectacle est y est également plus agréable. Lorsque les concrétions de glace sont à leur paroxisme (fin d'hiver), une visite de la salle et une séance photographique s'imposent. Elles se feront debout, assis ou à quatre pattes selon l'équilibre de chacun. Durant l'hiver la neige s'accumule à la base du premier puits et se transforme en coulée de glace. Dans la salle à -50 mètres, l'eau ruisselle sur les parois et se transforme en glace. L'air froid de l'hiver est piègé (effet de glacière). L'air chaud de l'été pénètre difficilement, ainsi une partie de la glace (dôme central notamment) persiste toute l'année. De -56 à -111 : Le réseau Cathy Le départ du réseau Cathy se trouve en paroi Sud de la salle glacée à -56 mètres. Le méandre est long de six mètres et a été élargi. La glace, en période froide, obstrue le passage car un puissant courant d'air (convection ?) existe entre la salle et une cheminée à mi-parcours du méandre. Une massette et une aiguille sont indispensables pour se tailler un passage. Il est préférable de laisser ces outils après l'étroiture glacée, pour pouvoir les réutiliser le cas échéant au retour ! Un P10 et un R2 de belles dimensions font suite. Un méandre élargi (chatière verticale) aboutit à un R3. On prend pied sur un palier. Une petite opposition amène à un P10. A sa base (3m x 3m), à -87 mètres, s'ouvrent un méandre et une chatière au ras du sol. Le méandre confortablement élargi par le C.H.V. (merci André Languille), permet d'éviter la chatière et débouche au sommet d'un P11 aux parois déchiquetées. A deux mètres de son sommet, une lucarne donne accès à deux puits parallèles : le puits du Cul-de-Sac et le puits du méandre. - Comme son nom l'indique, le puits du Cul-de-Sac (P8) est un puits borgne bouché par du mondmilch à -98 mètres. - Le puits du méandre (P11) a donné accès, après quelques séances de désobstruction par le C.H.V., à un petit réseau diffluent :le "Méandre des Pénétrés"(P7, P6, P10, R2, P7, P6, P6) qui s'arrête provisoirement à -140 mètres sur étroiture. Revenu à la base du P11, quelques arrivées d'eau s'y regroupent et forment un maigre filet. Deux ressauts parallèles de 3 mètres précédent un méandre. Une entrée de puits étroite permet d'accéder à un P10. Le fond (4m x 4m) est occupé par un beau bassin d'eau, à la cote -111 mètres. On prend pied sur une coulée stalagmitique qui forme une berge. La suite en rive Nord est un méandre initialement très étroit (10 cm). De -111 à -336 : Le réseau du G.S.V. (hors salles du fond) L'étroiture de -110 aujourd'hui élargie, et une certaine concurence maintenant estompée entre le GORS et le GSV ne sont pas les seules justifications à la transition. Après le méandre élargi à -113 mètres, les dimensions de la cavité changent tout à coup. L'écho est important. Un petit ressaut permet de prendre pied sur un palier qui surplombe un P15. En bas de ce puits, le sol est bien concrétionné. Les parois d'un méandre se resserrent et un P7 permet d'atteindre la cote -142 mètres. Un méandre étroit oblige à se faufiler sur un ou deux mètres avant d'atteindre le sommet d'un nouveau puits. Dix mètres plus bas, un bassin boueux est évité en prenant pied sur une grosse coulée stalagmitique qui dégueule dans un vaste puits (P30) aux parois cannelées. A son sommet, une vaste cheminée est un peu alimentée. La cheminée a été escaladée en artificiel en février 1994 par Marlène et Laurent Garnier : 20 mètres ont été gravis, transformant le P30 en P50. Au sommet de ce P50, on prend pied sur une margelle. Un court méandre permet d'atteindre le bas d'un beau P20 aux parois cannelées. Au sommet, un passage étroit donne accès à un méandre remontant, qui mène au bas d'un P8. Le sommet du P8 est entièrement colmaté, laissant filtrer cependant l'eau et un léger courant d'air, à la cote -100 mètres. Le haut du P8 jonctionne vraisemblablement avec le puits du Cul-de-Sac (voir réseau Cathy ci-dessus). Au milieu du P30, on peut pénétrer sous la coulée et descendre dans une salle concrétionnée qui est finalement impénétrable. La suite est au fond du P30, où une ouverture permet de passer de nouveau sous la coulée. La zone est très concrétionnée arrosée et peu vaste. Une petite désescalade permet d'atteindre le sommet étroit d'un P6 arrosé. Attention, il faut utliser la corde précédente : les trois spits plantés sont peu fiables car la roche n'est pas bonne. A -197 mètres, une petite vire sur la droite permet de prendre pied sans être arrosé. Une opposition mène au dessus d'un très beau P17. Un R2 conduit au dessus d'un très grand méandre, large de deux à trois mètres en moyenne, où le plafond se perd dans le noir. Des arrivées d'eau au plafond forment de très belles coulées. Le sol se dérobe et fait place à une enfilade de puits magnifiques : un P12 et un P37 qui mènent à la cote -266 mètres. A la base du P37, les parois du méandre se resserrent (1,4 m), mais le plafond est toujours invisible. Deux petits ressauts marquent le début du P65. Les parois se perdent dans le noir et deux petits pendules permettent de s'écarter un peu tardivement de l'actif. On se retrouve à un fractionnement à 32 mètres du sol, dominant la grande salle. Le plafond est toujours invisible, mais il est vraisemblable qu'il se situe au sommet du P37. De -336 à -385 : Les salles du fond A -336 mètres, on prend pied dans la "Salle des 40 ans". Cette salle est ncombrée d'un énorme éboulis parfois très concrétionné, parfois boueux. Au Sud de la Salle des 40 ans et à l'aplomb de la corde d'arrivée, on trouve le porche d'une belle galerie. Après 30 mètres, un éboulis obstrue presque totalement le passage. Le petit ruisseau qui provient des puits disparaît dans un boyau boueux peu engageant. Au Nord de la Salle des 40 ans, après avoir escaladé l'impressionnant éboulis, on redescend de quelques mètres pour buter sur un très grand miroir de faille Est-Ouest. On peut s'insinuer entre les blocs et la paroi pour accéder à un puits. Une belle glissade permet d'atteindre une première salle à -350 mètres : la "Salle de la Coulée". Au fond de celle-ci, on trouve un second passage étroit et boueux qui permet d'atteindre une salle de 12 mètres de diamètre, au sol désséché : "Le Sahel", à la cote -360 mètres. Au fond du Sahel, un passage bas conduit à une trémie instable. Il faut remonter entre blocs, avec précaution, pour déboucher dans un volume plus vaste. Au bout de cette troisième salle, une désobstruction a permis d'ouvrir un petit puits (P4) qui se désescalade, suivi d'un deuxième ressaut qui mène au bas d'un méandre long d'une dizaine de mètres. C'est là que l'on débouche dans une salle d'effondrement avec un plafond qui se développe sur un joint de strate. Les blocs qui jonchent le sol sont recouverts de glaise. A l'Ouest, on remonte la salle jusqu'au plafond où une coulée prend naissance. A l'Est, une descente entre blocs est stoppée à -385 mètres par un siphon qui semble se développer plein Nord. L'exploration est en cours : contactez le GSV (26 - Valence). Source : * Site archivé de l'ex CHV : chv-vassieux.pagesperso-orange.fr/mains/main2/cavi… (utiliser l'URL ci-dessus dans un site des archives du web pour retrouver ces pages, par exemple : web.archive.org)
Toponymie
L’origine de l'appellation "Scialets Neufs" est controversée parmi les Vertacomicoriens (habitants du Vercors, descendant d'une tribu gauloise qui a longtemps résisté...mais c'est une autre histoire). Tout d'abord, la présence dans la littérature du nom "Neufs Scialets" suggère l'existence possible d'un ensemble de plusieurs (9) scialets, situés dans un même périmètre. Cette explication est peu probable ; il s'agit plutôt d'une légende locale née de la profusion de localisations erronées d'un même scialet. Une autre hypothèse suggère que "Neuf" soit une transformation de "Neu" (Néou) signifiant "Nouveau". Ce nom aurait pu être donné à ce scialet lors de sa découverte, il y a fort longtemps. Au fil du temps, cet adjectif aurait été francisé puis aurait été mis au pluriel, dans la mesure où ce scialet possède deux entrées de taille équivalente. Une longue recherche dans les archives locales décrivant les terres environnant Vassieux et La Chapelle permettra peut être un jour d'élucider ces errances toponymiques.
Rigging
Équipement en 2009
Obstacle | Rope | Anchor | Observation |
---|---|---|---|
P20 d'entrée, vire et P30 | 65 m | 1AN + 2Broches+1S+2S+1S+1S+ 1dev | Ce puits peut s'équiper de différent manières. |
P10 | 22 m | 1AN+1S+2S | |
R3 + P10 | 25 m | 2S + 2S+ 2S | |
P10 | 16 m | 2 S + 2 S | |
R2+P10 | 18 m | CP+1S+ 2 S | |
P5 + P14 | 34 m | 2 S +1 S+ 1S | |
P8 | 11 m | CP + 1AN + 1S | |
P11+P30 | 50 m | 1AN + 2 S+1S+S+2S | |
R5+P8 | 22m | 1AN + 1AN+ 1dev+1S+1S+1AN | |
vire + P17 +R2 | 26 m | CP + 2S+1S+2S | |
P12 | 16 m | 2S+1dev sur AN | |
P37+R4 | 41 m | CP + 2 S+1dev+1S+1dev+1S+2S | |
P65 | 70m | CP+2S+1dev+1S+1dev+1S+2S | Dernier puits pour la salle des 40 ans |
R6 + toboggan | 26 m | 1AN+1S | Facultatif pour le toboggan |
R5 | 12 m | 1AN | Facultatif |
R5 | 12 m | 1AN | Facultatif |
Documents
Bibliographie relative aux Scialets Neufs 02/02/2009- * 1938 - SPELUNCA IX * 1938 - Rapport BOURGIN * 1960 - SPELEOS (bulletin du GSV) n° 32 * 1963 - SPELEOS (bulletin du GSV) n° 45 * 1978 - GROTTES ET SCIALETS DU VERCORS (Inventaire spéléologique) - tome 1 : Vercors méridional - CDS Isère * 1992 - SPELEOS (bulletin du GSV) n° 87 * 1993 - SPELEOS (bulletin du GSV) n° 88 * "Spéléologie sportive dans le Vercors" (avec topographie).
History
Les Scialets Neufs (ou le Scialet Neuf) étaient connus depuis toujours pour ses concrétions de glace dans la salle de - 50 m. Lors d'une ballade, en novembre 1991, des spéléos du GORS [04 - Oraison] et du GSV [26 - Valence] ont par hasard trouvé un espoir de continuité. Les deux clubs [et les futurs membres du C.H.V. qui vit le jour à partir de juillet 1992] ont entamé une désobstruction qui s'avéra payante : découverte du "réseau Cathy" [en mémoire d'une collègue décédée d'une longue maladie] jusqu'à -87 m. La chatière qui les arrêta fut bientôt élargie, et elle leur permit de découvrir le puits du Bassin (-110 m) d'un coté et le puits du méandre de l'autre. Les deux réseaux [se] terminaient tous deux de manière très étroite. Le GSV, durant l'hiver 1991-92 (Michel Berthet dit Mike, Marlène et Laurent Garnier) s'attaqua alors à la désobstruction du bas du puits du Bassin. Large de 10 cm à l'origine, le méandre fut mis au gabarit (longueur désobstruée : 10 mètres, 45 tirs, 138 heures de désobstruction). Cet obstacle franchi, permit de découvrir le "réseau du GSV", ainsi nommé car la première fut faite le 3 janvier 1992, soit à deux jours près, à la date anniversaire de la création du GSV. Une succession de puits de plus en plus vastes permit d'atteindre la cote de -245 m (Salle des 40 ans). La salle fouillée révéla un départ : après le toboggan, un passage entre blocs puis une désobstruction dans une trémie la cote de -385 m fut atteinte. L'arrêt se fait sur siphon glaiseux. Depuis ces découvertes, de nombreuses désobstructions ont été réalisées afin d'élargir les chatières. Des explorations ponctuelles continuent : escalades à -155m, désobstruction dans la zone des -100. [Un réseau diffluent, le "méandre des pénétrés" a ainsi été exploré sur une cinquantaine de mètres par le C.H.V., avec l'appui occasionnel du MAPS (94 - Créteil) Sources : * Site archivé de l'ex CHV : chv-vassieux.pagesperso-orange.fr/mains/main2/cavi… (utiliser l'URL ci-dessus dans un site des archives du web, par exemple : web.archive.org, pour retrouver le contenu de cette page) * Marléne et Laurent Garnier, « Scialets Neuf », in Les spéléos drômois (LSD) bulletin périodique du comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), Valence, numéro 10, 1994, p. 40-43 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Comments
Récit et photos de visite par le GUCEM en 2022
Voir : www.gucem.fr/2022/04/20/scialet-neuf-384/
🔦 : 8h
Belle cavité pour apprendre à équiper
Très belle cavité, idéale pour apprendre à équiper. La poursuite de la visite de la cavité au delà de la salle des 40 ans a peu d'intérêt.
Récit de visite par le SC Villeurbanne en 2023
Voir : speleo-villeurbanne.fr/scialets-neufs-07-12-203-la…
🔦 : 6h45
Récit et photos de visite par le SC Toulon et le GSV en 2019
Voir : sct-lei-aragnous.over-blog.org/2019/04/scialets-ne…
🔦 : 7h30
Un peu de première aux Scialets Neufs en 2012 par le GS Vulcain
Voir : usan.ffspeleo.fr/spip/spip.php?article1313
🔦 : 14h
Caves nearby
Distance (km) | Name | Length (m) | Depth (m) |
---|---|---|---|
0.2 | Neufs Scialets (Les) | 0 | |
1.3 | Vassieux (Effondrement de) | ||
1.9 | Sous la Route (Trou soufflant) | 0 | |
2.7 | Carri (Glacière de) | 380 | 193 |
2.9 | Baumettes n°2 (Scialet des) | 50 | 5 |
3.0 | Ferrières (Grotte des) | 100 | 20 |
3.3 | Baumettes (Scialet-grotte des) | 270 | 38 |
3.8 | Goine (Scialet) | 50 | 38 |
4.2 | Serre du Duc (Scialet du) | 6 | 6 |
Belle cavité à refouiller
Belle cavité, qui mériterait d'être refouillée correctement.
Xavier Robert (20/08/2009)