Soula del Pinet (Barrenc du)
42.820667,1.865728
Location
Le barrenc du Soula del Pinet est situé dans la partie amont des gorges de la Frau, sur le flanc sud du Sarrat de Rouquières, sur le territoire de la commune de Comus. - En arrivant au bas du village de Comus, en venant de Camurac, prendre tout droit la piste qui mène aux gorges de la Frau et aux pistes forestières du Basqui. S'arrêter au confluent avec la vallée de l'Ourza (point coté 1090), au niveau d'un petit pont. Juste en face du confluent, le flanc sud du Sarrat de Rouquières monte en pente très raide jusqu'aux crêtes boisées (point coté 1615m). On remarque le vague talweg rocheux en haut duquel s'ouvre l'aven. L'accès le plus facile se fait en prenant, en face du pont, de vagues traces qui montent tout droit dans les bosquets de noisetiers et rejoignent rapidement un ancien sentier. Ce drenier monte très raide face à la pente. Après environ 150m de dénivelé, couper sur la gauche pour rejoindre le talweg visible du bas. Au niveau d'un gros pin isolé, couper le talweg (petit trou impénétrable, un peu en aval), repérer de vagues traces, vestiges de nos passages répétés, et partir sur la gauche, en montant légèrement puis en traversée horizontale. L'aven s'ouvre derrière un petit bosquet de hêtres. son entrée, petite et au ras du sol, est difficile à trouver.
Description
L'entrée, de 1m de diamètre, est suivi d'un puits en cloche de 5m, suivi d'un ressaut terreux en colimaçon profond de 5m également. Un plan incliné en diaclase amène dans une petite salle encombrée de cailloutis. A son extrémité, un ressaut de 3m étroit (dynamitage) domine un puits de 26m en diaclase coupé de nombreux paliers. A sa base, une étroite diaclase dynamitée permet d'accèder à un beau puits de 13m. Il est suivi d'un joli méandre, avec deux ressauts de 2m, qui de terminait sur un passage infranchissable à la cote -65. - Ce dernier, ouvert sur 5m de longueuer, débouche sur un puits de 6.5m de belles dimensions. Sa base est impénétrable. Une cheminée de 6m dont le sommet très étroit a nécessité 2 dynamitages permet de prendre pied sur un palier au sommet d'un nouveau puits. Au-dessus du palier, une escalade de 3m donne accès au réseau remontant qui sera décrit plus loin. Un toboggan de 10m qui peut se descendre en désescalade permet de se retrouver sous le fond du P 6.5. Un nouveau passage dynamité nous fait déboucher dans un beau puits de 10m. Quelques mètres de progression, et on arrive sur un nouveau passage désobstrué dans le haut d'un méandre. Après une descente de 2.5m, ne pas continuer vers le bas du méandre, mais prendre à l'horizontale une étroiture dynamitée. On aboutit dans une petite salle sableuse. - Un ressaut de 3m maintenant praticable a nécessité une séance de désobstruction de 10h...Suit un beau puits de 8m. Au bout d'un large palier démarre, au ras du sol, le puits suivant, perfaitement cylindrique, de 13.5m de profondeur et de 3m de diamètre. La suite est un joli méandre qui s'abaisse peu à peu. Après un coude à près de 180, il se tranforme en un boyau exigu, terminus de nos travaux de 1988, à la cote -117. En mai 1989, 11 séances de désobstruction seront nécessaires pour l'agrandir sur 7 m de longueur et déboucher sur un gros puits de 13.5m, immédiatement suivi d'un P 6 à la base duquel l'eau se perd dans une fissure impénétrable. Il faut remonter de quelques mètres sur des banquettes, passer par-dessus un gros bloc coincé et redescendre dans le méandre. Un nouveau passage désobstrué mais encore inconfortable amène à -140 au sommet d'un méandre aménagé. On descend en escalade d'une dizaine de mètres jusqu'à l'entrée étroite (désobstruée) d'un nouveau puits de 8m légèrement arrosé. On prend ensuite un méandre surcreusé et après 2 ressauts de 2 mètres, on arrive dans une zone très fracturée où il faut évoluer avec précautions. - Un passage bas sous une trémie désobstruée et 2 ressauts de 2 et 5 m (le faux P 15) déboulent dans une salle ébouleuse à la cote -176. La suite était un méandre bas et étroit qu'il a fallu agrandir sur 6m de long (Passage de l'Autobus). Maintenant confortable, il débouche sur unn puits de 9m. Deux ressauts de 4m ( à équiper) et 2m amènent à -199, à l'entrée d'un méandre bas ouvert à l'explosif sur 7m de long, jusqu'au sommet d'un ressaut de 4m immédiatement suivi d'un beau P 8. Une nouvelle zone dynamitée et un puits de 5m au départ encore étroit aboutissent dans une belle galerie surcreusée, large de 2m, en partie concrétionnée (coulées). En continuant en hauteur on peut remonter un affluent sur une douzaine de mètres (2 ressauts de 1.5m) jusqu'à la base d'un puits de 6m dont le sommet est très étroit. En descendant dans le surcreusement (P5) on arrive dans le fond du méandre, encombré de blocs et rapidement impénétrable. Une escalade de 5m permet de retrouver un passage plus large jusqu'à une zone très ébouleuse ( R 2) et un méandre bas désobstrué, terminus de nos explos de 89, à la cote -230.
Encore quelques mètres de passages étroits et ponctuellement désobstrués, et après un ressaut glissant de 2m, on débouche au sommet d'un puits de gros volume. Son sommet à l'origine très étroit s'est effondré au 1er dynamitage, laissant une grosse lame suspendue au-dessus du puits lors de la première descente. Elle a été dégagée lors de la sortie suivante. Le puits de 5 à 6m de diamètre se rétrécit un peu vers le bas. Après 28m de descente,on prend pied sur un plan incliné encombré par les blocs de la désobstruction, suivi d'une diaclase où on progresse en hauteur, sur une banquette inclinée, jusqu'au départ étroit d'un puits de 8m. A sa base, on franchit un ressaut de 2m sous le ' Rideau d'Eau', qui est l'actif perdu au bas du P 28, et qui arrive au plafond. - Un beau P 25, au départ incliné, se poursuit, après un ressaut de 2m, par un joli P 17. Un palier horizontal domine un nouveau cran en profondeur de 9m. Vers le Sud, une série de ressauts en colimaçon ( R 8, R 6) se termine à -355 sur un boyau impénétrable.Vers le Nord,une courte galerie amène au sommet d'un beau P 16 arrosé, de 5m sur 4 (-355). A sa base, un départ en hauteur est rapidement colmaté. La suite au niveau du sol est un boyau étroit désobstrué sur 5m de long, qui débouche sur un P 6 arrosé. Un nouveau méandre, ouvert sur 5m, se jette dans un P 17 au départ incliné. Un passage étroit est suivi de 2 ressauts de 5m que l'on doit équiper. Commence alors un méandre bas en escalier, ponctué de petites vasques et d'étroitures dans lesquelles il faut unn peu se tremper. - A -405 une étroiture domine un P 7 dont le fond est encombré d'éboulis. Un passage en hauteur étroit lui aussi domine un beau P 9. 3m sous le départ, la majorité du courant d'air provient d'un méandre étroit et argileux, reconnu sur une dizaine de mètres jusqu'à un comblement de blocs. Le P 9 est immédiatement suivi d'un P 8 étroit (1.5 x 1m) dans lequel on ne peut éviter l'eau. Il s'achevait sur un méandre étroit, à la cote -431. 6 séances de dynamitage ont été nécessaires pour le rendre tout juste praticable. Le passage étroit ry humide se jette dans un P 19 en diaclase ponctué d'une étroiture. 2 ressauts ébouleux (prises cassantes) amènent dans une petite salle arrosée (en période d'étiage). Un départ étroit non ventilé et peu commode à désobstruer a eu raison de notre persévérance, à la cote -467. - - Réseau remontant depuis la cote -67 : ce réseau démarre en haut de l'escalade de 6m au-dessus du palier. Un court passage remontant étroit amène au pied de plusieurs cheminées parallèles. La plus évidente se remonte facilement en escalade. Après 9m de progression, un puits redescend vers le palier (cheminée parallèle). 22m après le départ, on prend pied sur un large palier encombré d'éboulis. 6m d'artif seront nécessaires pour atteindre un second palier sur le côté duquel on peut descendre de 9m dans un puits étroit terminé. Un nouvelle escalade de 18m permet de se rétablir sur un petit relais d'où part un P 12 obstrué à sa base par des éboulis. - On peut encore gagner quelques mètres dans la diaclase qui se rétrécit peu à peu. le passage devient impénétrable après 60m de remontée depuis le départ de l'escalade. On est ici à 4m au Sud-Est de l'orifice de la cavité. on voit la suite sur quelques mètres d plus jusqu'à la cote -2.5 par rapport à l'entrée de la cavité. Ce réseau développe 115 m. Il a été exploré et déséquipé en une seule sortie le 1er mars 1990.
Equipement
Obstacle | Corde | Attache | Observation |
---|---|---|---|
P5 | C20 | AN sur arbre à 5m dev sur piton | frottements |
R3 P26 | C40 | AN sur blocs étroiture AN sur bloc S à -3 dev à -5 AN à -16 dev sur lame à -20 | |
P13 R2.5 | C18 | 2S 1S à -3 | |
R2 | C8 | AN | |
P6.5 | C12 | 3S dans le méandre 1S plein vide | |
Cheminée 6 Tobbogan 15 | C30 | 1S en haut de la cheminée 1S au départ du tobbogan + 1 frac. à -4 | |
P10 | C15 | AN + 1S 1S à -4 | |
R2.5 R3 P8 | C8 | AN sur Bloc + 1S | |
P13.5 | C32 | 2S | |
P13.5 | C18 | 2X +1S à -1 2S | |
P6 | C10 | ||
P8 R5 | C15 | 1S + 1AN | |
P9 | C12 | 2S 1 dev à -6 | |
R4 | C8 | 2S | |
R4 P8 | C20 | 2S MC 2m 1S 1S | |
P5 | C8 | 2S | |
R5 | C10 | 2S 2AN 1S | |
E5 | C10 | 2S au départ une dev à -2 | |
P28 | C35 | ||
P8 | C12 | 1AN + 1S | |
P25 | C35 | 2S 2S à -5 | |
P17 | C30 | 1 coinceur 1S MC 2m 2S Dev à -11 sur AN | |
P9 | C18 | 1S MC 2S plein vide | |
P16 | C30 | AN base P9 1S dans le méandre 2S au sommet du puits Dev sur S à -5 | |
P7 | C15 | 2S | relier à la corde précédente |
P17 | C30 | 2S 1S au départ 2S à -2 1 dev sur AN à -10 | |
P5 P5 | C15 | 2S 1S | |
P7 P9 P8 | C35 | 2S 1 dev (AN) à -2 1S 1s 1S | |
P19 R4 P5 | C45 |
Documents
Bibliography 13/01/2010- CAU A. - 1969. Activités 1968 de la SSP - Aven du Soula du Pinet. Spelunca 4 série n° 2 pp 140-141 - CAVAILLES D. - 1984 - Le barrenc du Soula del Pinet. L'Echo des Ténèbres n° 14, avril 1984. pp 60-62 Spélé Aude n°2
[Topo] Soula del Pinet 68 08/03/2019
[Topo] Soula del Pinet 84 08/03/2019
[Fiche] Soula del Pinet V0 08/03/2019
[Fiche] Soula del pinet V1 page 1 08/03/2019
[Fiche] Soula del Pinet V1 page 2 08/03/2019
[Article] Soula del Pinet page 1 08/03/2019
[Article] Soula del Pinet page 2 08/03/2019
[Article] Soula del Pinet page 3 08/03/2019
[Article] Soula del Pinet page 4 08/03/2019
[Article] Soula del Pinet page 5 08/03/2019
[Article] Soula del Pinet page 6 08/03/2019
[Article] Soula del Pinet page 7 08/03/2019
[Article] Soula del Pinet page 8 08/03/2019
[Article] Soula del Pinet page 9 08/03/2019
Histoire
Découvert par la Société Spéléologique du Plantaurel le 22/08/1967, l'exploration se termine après quelques sorties de dynamitage à la cote -65. Le trou est revisité et retopographié en 1983 et en 1984 par D. Cavailles, A. Pages et J.P. Ainie. En 1988, à l'initiative de D. Cavailles et A. Hernandez, nous décidons de rééquiper le gouffre afin de travaillet le méandre terminal. 4 sorties de dynamitage seront nécessaires pour passer. A -67, une lucarne est à nouveau désobstruée. Après d'autres sorties de dynamitage en divers endroits de la cavité, l'explo s'arrête en décembre 1988, sur un nouveau méandre étroit, à la cote -117. Bien que les espoirs restent maigres au sein du club, quelques acharnés décident de reprendre la désobstruction du terminus. Le gouffre est réequipé en mai 1989, et nous profitons des jours fériés pour installer un petit camp, à 20 minutes de marche du trou au confluent des vallées de l'Ourza et de la Frau. 9 sorties successives jour et nuit, suivies de 2 autres le week-end suivant, permettront de venir à bout du méandre de -117, baptisé l'Etoile Filante. Au total, 33 tirs pour élargir, sur 7m de long. Les efforts ne sont pas vains. Mais, à -140, un nouveau méandre infranchissable nous arrête. Et ce n'est que le début d'une longue histoire... Successivement, les étroitures sont dynamitées : -140 ( 4 tirs), -178 (18 tirs), -195 (32 tirs), -215 (20 tirs), -225( 4 tirs), -230 (8 tirs). Les sorties deviennent de plus en plus longues, mais n'atteignent pas le moral des spéléos. Bien au contraire, une véritable équipe s'est soudée, formée surtout de membres de la S.S.P. et du Spéléo Corbières Minervois, venu en renfort. Le petit coin où nous avions pris l'habitude de camper est maintenant habité pratiquement tous les week-ends. Entre mai et décembre 1989, 31 sorties ont lieu. L'hiver approchant, nous déséquipons le gouffre jusqu'à la cote -70. En mars 1990, Ph. géraud et Aldo Castilla escaladent une cheminée qui part de -67 la remontent sur 60m, et déséquipent entièrement la cavité. Le gouffre estr rééquipé en mai 1990, jusqu'à l'arrêt précédent (-230). Quelques tirs çà et là permettent d’agrandir certains passages, afin de faciliter les descentes et les remontées, jusque-là ponctuées d'étroitures assez sévères! Les travaux continuent d'autre part à -230. Le passage est ouvert au bout de 16 tirs. Si de -65 à cet ancien terminus le réseau ne comprend que des petits puits inférieurs à 14m, la suite nous délivre enfin de vastes verticales, qui s'enchaînent, pour une fois, sans qu'il soit nécessaire de dynamiter. Les explorations se succèdent, sortie après sortie, pour équiper les puits : P 30, P 8, P 25, P17, P 9, P 15. C'est l'allégresse la plus totale et les fantasmes les plus fous font imaginer des suites délirantes... La rivière ?! Hélas! Le gouffre se resserre à nouveau à -355. Qu'à cela ne tienne! Nous rechargeons les batteries et la désobstruction reprend. 17 tirs nous permettent de passer, mais nous sommes encore arr^tés devant un méandre infranchissable à la cote -370. 6 sorties et 32 tirs permettent d'en venir à bout. Bout auquel nous arrivons après 2 sorties d'équipement à la cote -430, à nouveau sur ... un boyau étroit! 6 nouvelles sorties de dynamitage et 53 tirs nous permettent de passer. L'étroiture reste sévère. L'Age décide d'attendre et Flep et flo équipent les puits : P 19, suivi de 2 ressauts de 5m. Au fond, encore une étroiture. Mais cette fois-ci il y a très peu d'air, et la profondeur atteinte ( -467) devient de plus en plus repoussante pour trimbaler la perfo et les accus. Le temps des sorties s'est allongé jusqu'à parfois 15h, la progression jusqu'au fons devient pénible...
Nous laissons cependant les derniers puits équipés afin qu'une autre équipe puisse juger de l'ampleur du chantier, et prendre ainsiun décision sur la suite à tenie. C'est chose faite un mois plus tard. Marie, Jean Claude, Albert, Flep et patrick descendent jusqu'au fond, et décident d'arrêter les travaux. Ils ressortent en déséquipant jusqu'à -270. Le lendemain Max, Christophe, jean Pierre, alain et Flo prennent la relève et terminent le déséquipement. Le gouffre est à nouveau laissé à sa solitude... - Au cours de ces trois années d'exploration, 70 sorties ont permis d'amener la cavité de -65 à -467. Le barrenc del Pinet est ainsi devenu le gouffre le plus profond de l'Aude, mais aussi du Languedoc-Roussillon. Au total, 48 personnes ont participé au explos et si l'on additionne le nombre de sorties par participants on arrive à un total de 236 !! Rajoutons à cette liste de chiffres celle du nombre de tirs de dynamitage : 314 ! - - En résumé, le Pinet est l'oeuvre de spéléos qui, pour faire aboutir leurs rêves et leurs espoirs, ont réussi à concentrer leurs efforts en une équipe solidaire et unie. Qui sont-ils ? leur nom suit du nombre de sortie. N’ont été cités ici que les gens ayant participé aux explos. J’ai pu en oublier par absence de compte-rendu, et je prie d’avance les laissés pour compte de bien vouloir m’en excuser… 1° SOCIETE SPELEOLOGIQUE DU PLANTAUREL - - GERAUD Philippe : 20 sorties - HERNANDEZ Albert : 18 - GRAMONT Eric : 17 - GERAUD Jean : 13 - POUGET Florence : 12 - BAUMERT Christian : 11 - MAUGE Jean-Noël : 10 - DANJOU Odile : 9 - CAVAILLES Daniel : 9 - TALIEU Frédéric : 7 - CALVET Laurent : 7 - RAMEL Jean-Paul : 6 - PELTIER Richard : 6 - FERRIER Pascal : 4 - GRIC Elia : 4 - GUTTIEREZ Félix : 3 - PAGES Anne : 3 - BOUCHET Eric : 2, - et ainsi que Jean-Pierre AINIE, Bernard BERTEIL, Jean-Luc BONDATY, Raphaël CAPITELLI, Philippe CASSAGNAUD, Aldo CASTILLA, Gaétan CLERET, Serge CUCULIERE, Marc FAURE, Jeanne FONQUERNIE, Gilles GUE, Alain HILAIRE, José RAMON qui ont fait une sortie dans la cavité. - - Au total, 33 membres de la SSP, chiffre énorme sur une liste de 45 personnes, ont participé aux explorations. 2° SPELEO CORBIERES MINERVOIS - - GUERARD Marie : 21 sorties - PULIGA Jean-Claude : 19 - AMIEL Christian : 4 - PULIGA Lionel: 3 - TOSATTO Serge: 1 3° SPELEO CLUB DE L’AUDE - - BES Christophe : 2 sorties - CALVAYRAC Alain : 1 sortie - PEREZ Patrick : 1 sortie - - - 4° MJC DE NARBONNE - - SEVCIK Franck : 1 sortie - BLANC Jean : 1 sortie 5° AUTRES - - MERIMECH Christian : 2 Sorties - CAZES Gérard: 1 sortie - François ? : 2 sorties - RENKE ? : 1 Sortie - Jean-Robert : 1 sortie -
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🔦 : 15h 🚶: 45m
Cavités proche
Distance (km) | Nom | Longueur (m) | Profondeur (m) |
---|---|---|---|
0.7 | Pinet (Grotte de) | ||
2.7 | N°9 [Numéro 9] | 25 | 25 |
2.8 | Roc Rouge (Barrenc du) | ||
2.9 | Bou-Chenesque (Barrenc de) | ||
3.1 | Camplong (Barrenc de) [Barrenc de Callong] | 96 | 60 |
3.4 | Refuge des Gardes (Barrenc du) | 0 | 0 |
3.5 | Esclottos 1 (Effondrement d') | ||
3.6 | Esclottos 2 (Effondrement d') | ||
3.9 | Grenouille de la Frau (Trou de la) | 8 | 8 |
Cds 11 (09/07/2013)
🔦 : 20h 🚶: 30m