SUNDABRAR SPRING
33.541700,75.350000
Description
The sacred karst spring at the Trisandhya Devi Tirtha, or rather the communicating pair of springs Sendh-Brari (note 1) and Sapt Rishi (note 2), are said to flow intermittently (note 3) when the snows melt in the month of Urdi-bihishti (ABUL FAZL 1590: April; BERNIER 1672: May), or on the 15th of Har (VIGNE 1842: June). A considerable concourse of people visit the tirtha (religious bathing place and pilgrimage site) dedicated to the goddess Sandhya during Gayatri, the festival in early summer. SITUATION: The curious springs are found at the 'tirtha' (sacred pilgrimage site) of the goddess Sandhya (Samdhya or Sandhyadevi, also Trisandhya Devi), the modern Sundabrar (marked Sundabra on AMS sheet NI43-11), and in a tributary to the Bringi, a nala (stream, streamed, valley) arriving from south of Devalgam (Devalgom) village. SITUATION 1590: ABUL FAZL (1590 edited by JARRETT, SARKAR & SEZGIN 1993, 2: 357) places the spring of great sanctity near the town of Brang / Bring. SITUATION 1672: BERNIER (1672, etc.) positions his »Send-brary« (also: Sendh-brary) at the border of the Vale, and at a distance of two marches from “Kashmir“ (i.e. Srinagar town). SITUATION 1891: CONSTABLE (in BERNIER 1891 edited 1968: 410-411 note 3) is happy but entirely wrong with identifying Bernier's Send-brary with the sacred spring at Bawan or, alternatively, with the spring at »Mattan« (Martand: Bawan springs) only because they are also sacred. SITUATION 1892: STEIN, M A (1892,1: 33 note; 1899b: 181-182 edited 1977) identifies Bernier's Send-brary with the »Samdhya« tirtha at Sundabrar and associates the supposed three daily and three nightly flows during uncertain periods in early summer with the three-fold recitation of Gayatri (which is sacred to the goddess here) during her festival at the relevant time of the year. The small spring, which is usually dry for the greater part of the year, has, owing to the curious phenomenon above indicated, always enjoyed great fame as one of the 'wonders' of the valley. SITUATION 1973: GANHAR (s.a., circa 1973: 81) positions the Trisandhya of the Kashmir valley (note 3) »some two or three miles [about 3 or 5 km along the road] beyond [better: south-southeast] the famous Kokarnag [see: Kukernag] in Anantnag district.« DESCRIPTION 1590 (ABUL FAZL (1590, edited by JARRETT 1893 revised by SARKAR & SEZGIN 1993, 2: 357): »Near the town of Brang [JARRETT 1893: Bring] is a long defile in which is a pool seven yards square and as deep as a man's statute. It is regarded as a place of great sanctity. Strange to say it is dry during eleven months, but in the Divine month Urdi-bihisht [JARRETT 1893: April], water bubbles forth from two spings. First in one corner of it is a cavity like a mortar called Sendh brari: when this becomes full, the spring rises another in anoter corner called Sapt Rishi. From these two sources the pool runs over. Sometimes it boils up for three hours and at times for only a second. Then it begins to decrease till not a drop remains. At three periods of the day, viz., morning noon and evening, this rise occurs. Various flowers are thrown in as offerings to either spring, and after the reflux of he water, te flowers of each votary are found in their respective springs. But this, like the divining cup is a contrivance of the ancients to secure the devotion of the simple.« DESCRIPTION 1672 (BERNIER 1672: 420; 1709-1710, 2: 291 & map opposite page 269): »A l'égard des petits Voyages que j'ai faits dans divers quartiers de ce Royaume, voici ce que j'ai à vous en dire. Nous ne fûmes pas plûtôt arrivez à Kachemire, que mon Navab Danechmendkan m'envoya, avec un de ses Cavaliers, pour escorter un homme du Pays à une des extrémitez de ce Royaume, à trois petites journées d'ici, sur le raport qu'on lui fit que c'étoit la vrai temps pour voir les Merveilles (car cèst ainsi qu'on en parle) d'une fontaine qui est de ce côté-là. Ces Merveilles sont, qu'au mois de Mai, temps auquel les neiges ne viennent que de fondre, cette fontaine environ l'espace de quinze jours fluë & s'arrête reglement trois fois le jour, sur la pointe du jour, sur la midi, & sur la nuit: Son flux est pour l'ordinaire de trois quarts d'heures peuplus au peu moins, & assez abondant pour remplir un Reservoir en quarré avec des degrez pour descendre jusques en bas, qui a dix ou douze pieds de largeur ou environ, & autant de profondeur. Après les quinze premiers jour son course commence à n'être plus si reglé, ni si abondant, & enfin après un moins ou envrion elle s'arr^te tout-à-fait & ne coule [292] plus le reste de l'anée, si ce n'est pendant quelques grandes & longes pluyes qu'elle coule sans cesse & sans régle comme les autres fontaines. Les Genitls ont là sur le bord du reservoir un petit Deüta [Sanskrit: devta = divinity] ou Temple d'Idole de Brare, qui est un de leurs Deütas ou fausses Divinitez, & c'est pour cela qu'ils appelent cette fontaine Send-brary, comme qui diroit eaux de Brare, & qu'ils viennent là de toutes parts en pelerinage pour se baigner & se santifer dans cette eau miraculeuse. Ils font fur l'origine de cette eau plusieurs fables que je ne vous raporterai point, parce que je n'y vois aucune ombre de verité. Pendent cinq ou six jours que je demeurai-là, je fis tous mes efforts pour trouver la raison de cette Merveille; je considerai attentivement la situation de la Montaagne au pied de laquelle est la fontaine; je montai tout au haut avec beaucoup de peine, cherchant & furetant de tous côtes; je remarquai qu'elle s'étend en long du Nord au Midi, qu'elle est séparée des autres Montagnes qui néanmois en sont fort proche, qu'elle est en forme de dos d'âne, que son sommet, qui est très-long, n'a guére que cent pas dans l'endroit où [292] is est le plus large, qu'un des côtez de la Montagne, qui n'est couvert que d'herbe verte, est exposé au Levant, le Soleil néanmois ne le puvant voir que sur les huit heures du matin à cause des autres Montagnes opposées, & enfin que l'autre côte qui est exposé au Couchant est couvert d'arbres & de Buissons. Tout cela consideré, je me suis imaginé que le chaleur du Soleil, avec la situation particuliere & la disposition interrieure de la Montagne, pourroient bien être les causes de ce prétendu miracle, que le Soleil du matin venant à donner fortement sur ce côté qui lui est opposé, l'échauffe, & fait fondre une partie des eaux gelées, qui durant l'Hyver, que tout étoit couvert de neige, s'étoient insinuées au dedans le la terre de la Montagne; que ces eaux venant à peu jusques à certaines couches ou tables de roches vives, qui les retienent & conduisent vers la source de la fontaine, produisent le flux du Midi, que le même Soleil s'élevant au Midi & quittant ce côté qui se refroidit, pour fraper de ses rayons comme à plomb sur le sommet qu'il échauffe, fait encore fondre de semblables eaux ge- [293] lées qui descendent de même peu à peu comme les autres, mais par d'autres circuits, jusques à ces couches de roches, & font le flux du soir; & qu'enfin le Soleil échauffent de même le côté Occidental, produit le même effet, & cause le troisiéme flux, à savoir celui du matin, lequel est plus lent que les deux autres, ou parce que ce côté Occidental est éloigné de l'Oriental où est la source, ou parce qu'étant couvert de bois, il ne s'échauffe pas si vîte, ou bien à raison de la froideur de la nuit. Or je trouvois que mon imagination étoit d'autant plus raisonnable, qu'elle semble s'accorder avec ce q'on dit, que dans les premiers jours l'eau vient en plus grande abondance que sur les derniers; qu'elle vient enfin à s'arrêter & à ne couler plus du tout; comme si dans le commencement il y avoit de ces eaux gelées dans la terre en plus grande quantite que sur la fin : Elle semble encore s'accorder avec ce qu'on a remarqué qu'il y a des jours dans le commencement même, qu'un flux se trouve plus abondant que l'autre, & quelquefois à midi plus qu'au soir ou matin, ou au matin plus qu'a midi; ne se puvant faire qu'il [294] ne se trouve des jours plus chauds les uns que les autres, ou qu'il ne s'éleve quelques nuages qui interrompent cette 'egalité de chaleur, & rendant par conséquent les flux inégaux. En revenant de Send-brary je me détournai un peu du grand chemin pour aller coucher à Achiavel, qui est un lieu de plaisance des anciens Rois de Kachemire, & à present du Grand Mogol : Ce qui en fait la principale beauté c'est une fontaine don't l'eau se disperse par dehors de tous côtes à l'entou du bâtiment qui n'est pas laid, & dans les jardins par cent canaux ; elle sort de terre comme si elle remontoit & rejaillissoit du fond d'un puits avec violence & boüillonnement & en telle abondance qu'on la pourroit plûtôt appeller Riviere que Fontaine ; l'eau en est admirablement bonne …« DESCRIPTION 1688 (HAPPEL 1688, 3.1: 380; keywords: Ost Indien, Gebieth des grossen Mogols, Kachemiere Quel=Brunnen, Götzen=Tempel so Brara heisset): »Send=Brari: Dieser Brun / wann der Schnee im May=Monat auff dem Gebürge beginnet zu schmelzen / fänget an überflüßsig zu quellen / so daß er den daran gelegenen kleinen Wasser=Behalter / welcher zwölff Schuh weit / und auch so tieff ist / allzeit füllet. Die ersten fünffzehen Tage verseihet er täglich dreymahl / des Morgens / Mittags und Abends / und zwar jedesmahl drey viertel einer Stunde. Noch andere fünffzehen Tage fliesset er / aber nicht mehr so stark / hält auch die Zeiten / darinn er verseihet / nicht mehr so gar just und richtig. Wann er nun also ein Monat lang geflossen / bleibt nachmahl er die übrige eilff Monat trucken ohne Wasser / es sey denn / daß ein gar lang=währendes Regen=Wetter entstehet / da er dann / wie andere Brunnen auch / stetigs fliesset. Die Heyden stellen jährlichs umb diese Zeit / wenn der Brunn anfähet zu quellen / besondere Wallfahrten dieses Orthes an. Berniers Ost=Indische Reise.« DESCRIPTION 1775 (BERNIER 1775: 403): »Send Brary … Im May fließt er, und hält dreymal des Tages ordentlich an, einmal bei Aufgange der Sonne, alsdenn zu Mittage, und zuletzt bei Sonnenuntergange. Er fließt stark genug um ein viereckiges Behältniß von zehn bis zwöf Fuß breit, und eben so viel tief, zu füllen. Solches dauert vierzehn Tage, nach welchem sein Lauf unordentlich und schwach wird, gegen das Ende des Monats aber gar aufhört, wenn nicht ein großer Regen fällt, da er, jedoch ohne Zwischenräume zu machen, an zu laufen fängt …« DESCRIPTION 1835 (MUNCKE 1834: 1074): »Varenius (Geogr. gen. cap. 17. pr. 7.) [note 4] erzählt von einer heißen Quelle in Japan, die täglich zweimal nur eine Stunde lang, und von einer andern bei Cachemir, welche beim Schmelzen des Schnees im Mai nur Morgens, Mittags und Abends Wasser giebt.« There is, however, neither a book I.xvii, 7 nor a book II.xvii, 7 in VARENIUS (1650) but book I.xvii, 6 mentions a hot spring in Japan and book I.xvii,18 lists »Fontes, qui stato tempore non continuo …« but none from Kashmir. DESCRIPTION 1837, VIGNE (1837: 769) lists springs in the Valley of Kashmir, including »one that ebbs and flows, in this month [?] only, at the east end.« DESCRIPTION 1842, MINDING (1842: 67-68) was mis-led to believe the »Wunderquelle von Kaschmir, Send-Brary« (the miracle source of Kashmir) is a thermal spring. DESCRIPTION 1842, VIGNE (1842; after: ROY 1949, in: ABUL FAZL 1949, 1993,2: 389) narrates how several thousand people assembled 15th of Har (13 June), all nearly naked ,and waited for the rising of the water. When the basin perceptibly began to fill, the immense multitude exclaimed Sondi, Sondi (it appears), filled their brazen water-vessels, drank, performed ablutions and returned to their home. DESCRIPTION 1865, LERSCH (1865: 216) refers to MINDING (Annal. d. Struv. Brunnenanstalt II, 68): »Die Wunder-Quelle von Kaschmir, Send-Brary, verbindet mit dem dreimaligen Fliessen die von der Schneeschmelze abhängige Periodicität. In einer Talhöhe von 6-7000’ [Fuß = circa 2000 m asl] fließt sie nur während des Schneeschmilzens im Mai 15 Tage lang und bleibt das übrige Jahr trocken, heftige Regengüsse ausgenommen, wonach sie unregelmäßig hervortritt. In jenen 15 Tagen hingegen strömt sie dreimal täglich 3/4 Stunden lang reichlich.« DESCRIPTION 1899 (STEIN, M.A. 1899b: 181-182 edited 1977): The pargana »Bring contains one of the holiest of the Kashmir tirthas [pilgrimage sites] in the sacred spring of the goddess Samdhya, also called Trisamdhya, the modern Sundabrar. It is situated in a side valley opening to the south of the village of Devalgom, circa N 33°32': E 075°22'. The spring of Samdhya derives its fame as well as its appellation from the fact that during uncertain periods in early summer it flows, or is supposed to flow, intermittently, three times in the day and three times in the night. Owing to the analogy tus presented to the three-fold recitation of the Gayatri (Samdhya), it is held sacred to the goddess Samdhya.« NOT SEEN literary source: STEIN, M. A. (1898-1900). CULTURAL HISTORY: The Sanskrit MATSYA PURANA (circa 500 CE: XXII.46), dated to the Gupta period, regards the place called »Trisandhya« a spring sacred to the goddess Sandhya (BHATTACHARYYA 1970, 1977, 1999: 245). KALHANA: Rajatarangiri (circa 1040 edited 1892, 1: 33 note) lists Sandhya tirtha immediately after the most important Kapateshvara tirtha. The medieval NILAMATAPURANA (a.i.) knows Trisamdhya. BERNIER (1699, page 160) needs to be checked. ROY, N.B. (in: ABUL FAZL 1949 edited 1993, 2: 389) refers to STEIN, M.A. (1892 or 1896 or 1900: Chron. 1, note 38; Chron. 2) identifying Sendhbrar, the modern Sundbrar, with Samdhyadevi tirtha. MORLO (1999: 30) lists intermittent springs worldwide, including »Send-Brary« in Kashmir, India or Pakistan.
NOTE 1: This spring and/or the site occurs under various titles with different spellings, e.g.: Samdya: STEIN (1892,. 1: 33 note; 1899b: 181-182); Send brari: HAPPEL (1688, 3. 1: 380); Sendh brari: ABUL FAZL (1590, edited JARRETT 1893 revised by SARKAR & SEZGIN 1993, 2: 357); Sendh Brary: MINDING (1842: 67); LERSCH (1865: 216); Sendh brary: BERNIER, Françoise (1672: 420; 1709-1710. 2: 292, 294); Bernier, Franz (1775: 403); Sundabra: AMS sheet NI43-11 Anantnag (U502 series, 1960 edition); Sundbrar: STEIN (1899b: 181-182); Trisamdhyadevitirtha: ROY, N.B. (in: ABUL FAZL 1949 edited 1993,2: 389); Trisandhya Devi Tirtha: STEIN, M.A. (1899b: 181-182). NOTE 2: ABUL FAZL (1590, edited JARRETT 1893 revised by SARKAR & SEZGIN 1993, 2: 357). NOTE 3: I am indebted to Hans Morlo (Münster) not only for puttting me on the track of Bernier's »Sendh Brary« but also for sharing his inspired familiarity with the world's intermittent springs: MORLO (1999: 30) gives a worldwide registry, including »Send-Brary« in Kashmir. The spring at Sundabrar is, as far as I know, one the only four springs of Indian Subcontinent (Afghanistan, Pakistan, India, Nepal, Bhutan, Bangladesh and and Sri Lanka), which are claimed to feature intermittent flows. The three others are Trisandhya Devi Tirtha (Dachan-Marwa area (Jammu district); Chat-i-Bibi Nani (Pakistan, Las Bela province, Hinglaj); Dhor Bahara (Nepal, Tanahun district, Dorphidi).NOTE 3: GANHAR (s.a., circa 1973: 81) reports another, similar spring from the –>Trisandhya Tirtha at Kishtwar (Chenab River valley, Udhampur district, Jammu). NOTE 4: Muncke's reference to »Varenius (Geogr. gen. cap. 17. pr. 7« is bogus. There is neither a book I.xvii, 7 nor a book II.xvii, 7 in VARENIUS (1650). It is book I.xvii, 6 that mentions a hot spring in Japan while book I.xvii,18 lists several »Fontes, qui stato tempore non continuo … [not continuously flowing springs] but none from Kashmir.
Documents
Bibliography 01/06/2016- Abul Fazl 'Allami 1590 (Ain i Akbari: edited by Beveridge, H, a.i.; Gladwin, Francis 1783, 1800; Blochmann, H 1873, 1939, 1949, 1993; Jarrett, H S 1891, 1939, 1949, 1993); Bernier, Framçois [Franz] 1670, 1672, 1699, 1709-1710, 1775, 1891, 1968; Bhattacharyya, Narendra Nath 1970, 1977, 1999; Ganhar, J N (s.a., circa 1973); Happel, E G for Happel, E B 1688; Kalhana: Rajatarangini 1140, 1835, 1840-1852, edited by Stein, M A 1892, 1896, 1900, 1960, 1988-1990, edited by Pandit, R S 1935; Lersch, Bernhard Max 1865, 1870; Matsya Purana, s.a. circa 500; Minding, J 1842; Morlo, Hans 1999; Muncke, G W 1834 (in: Physikalisches Wörterbuch, edited by Gehler, Johann Samuel Traugott 1834); Nilamata Purana (a.i., Bomay edition); Roy, N B 1949 (in: Abul Fazl 1949, 1993); Stein, Marc Aurel 1899b (reprinted 1977); Vigne, Godfrey Thomas 1837, 1842.
Histoire
EXPLORATION HISTORY: 1590: ABUL FAZL (1590) listed the sacred spring. 1664 (±1): François Bernier, physician in ordinary travelling in the suite of the Emperor Aurangzeb, visited the spring in 1663 (HAMILTON 1828, 1: 371), 1664 (LAWRENCE 1895: 22, note 1), or summer 1665 (STEIN, M.A. 1899b: 74).
Cavités proche
Distance (km) | Nom | Longueur (m) | Profondeur (m) |
---|---|---|---|
7.1 | ADIGAM SINK | ||
7.9 | KUKARNAG CAVE & SPRING | ||
9.3 | VERINAG CAVE | ||
9.3 | VERINAG | ||
10.9 | MUNDA CAVE | ||
12.7 | JAWAHAR ROAD TUNNEL | ||
12.7 | BANIHAL RAILWAY TUNNEL | ||
26.2 | SURYA GOFFAR, Martand | ||
27.1 | BAWAN SPRINGS |