Nébélé (Gouffre) [CA270]
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Description
Description de la zone d'entrée (d'après le site du collectif Nébélé)
L'entrée du gouffre est une ancienne perte, et consiste en un puits de 40 mètres à la base duquel une série de désobstructions ont donné accés, via quelques vires, étroitures et petits méandres, à un confortable puits de 20 mètres. Une vire lui fait suite, ainsi que le vaste puits du Pendule, profond de 38 mètres, et que l'on ne descend qu'à moitié pour prendre pied dans la salle du Pendule. Plusieurs galeries et puits ont été découverts à proximité de cette salle : - galerie de la Saint Sylvestre, - puits du Grand Noir, - galerie du Piochou. Mais le prolongement principal reste la galerie 93.
Description de la 'galerie 93' (d'après le site du collectif Nébélé)
Vaste méandre de 5 à 20 mètres de haut pour 2 à 7 mètres de large, cette galerie est jalonnée de plusieurs départs donnant accès à d'autres parties du réseau : - galerie du Casse-croûte, débouchant sur les Herses au nord, - puits du commandant Cousteau, se prolongeant par la galerie du Blaireau puis du Scrouitch vers l'ouest, - galerie du Bain, livrant la Grande Faille et la salle du Parpaing à l'est. La galerie 93 se termine sur une zone siphonnante en cours d'exploration par plongée : - coté amont, 250 mètres de galeries noyées ont été parcourues ; - à l'aval, cinq siphons entrecoupés d'exondés ont été franchis.
Description des 'Herses' (d'après le site du collectif Nébélé)
Premier ensemble rencontré au nord de la galerie 93, les Herses sont constituées essentiellement d'un méandre et d'une galerie perchées au sommet d'une escalade de 50 mètres (puits du Sablier). Ces conduits remontent en suivant le pendage et se terminent sur trémie infranchissable à l'issue d'une escalade de 25 mètres (escalade du Jedï).
Description de la 'galerie du Bain' (d'après le site du collectif Nébélé)
Très proche du niveau de base local, cette conduite forcée subhorizontale devait être pratiquement colmatée par l'argile. Un ruisseau au débit parfois important a en partie déblayé l'argile, permettant un passage aisé. Ce ruisseau se perd par une sorte de soupirail, tandis que le plafond s'élève au carrefour de trois galeries : - un affluent boueux et qui se rétrécit au bout de 50 mètres, - une galerie débouchant dans la salle du Parpaing, - une galerie remontant vers une trémie que l'on peut traverser et qui permet l'accés à la Grande Faille.
Description de la 'salle du Parpaing' (d'après le site du collectif Nébélé)
Cette salle de 30 mètres de long, 20 mètres de large et 40 mètres de haut recèle dans ses plafonds de nombreuses galeries connectées entre elles et à la galerie des Diaclases (voir Faille sud). Plus d'un kilomètre de labyrinthe tant vertical qu'horizontal existe dans cette zone : galeries des Ammonites, des Gérontes, des Fresques, puits de la Jonction, du Joker, de l'Unanimité, entre autres.
Description de la 'Grande Faille' (d'après le site du collectif Nébélé)
On accède à la Grands Faille par une zone ébouleuse verticale. La Grande Faille mesure 400 mètres de long, parfaitement rectiligne, pour 5 à 30 mètres de large et 5 à 40 mètres de haut. On distingue la 'Faille nord' et la 'Faille sud', par rapport au point de débouché. - La Faille sud : La galerie y prend des allure de grande salle, et se poursuit via une escalade par la galerie des Diaclases de dimensions beaucoup plus modestes. Au bout de quelques centaines de mètres, de nouvelles zones grandioses sont rencontrées, pour finalement butter sur une méchante trémie. Des escalades ont livré des galeries supérieures rejoignant la salle du Parpaing. - La Faille nord : Cette partie est la plus longue. Dans ses plafonds, à 60 mètres de hauteur, une nouvelle jonction avec les galeries supérieures du Parpaing a été réalisée (puits du Théâtre). Plus au nord, la galerie du Retour revient vers l'ouest, vers les puits d'entrée. Hélas la jonction, bloquée par une trémie, semble irréalisable. Encore plus au nord, la Grande Faille se poursuit par une galerie plus modeste terminée sur trémie.
Description du 'puits du Cdt Cousteau', de la 'galerie du Scrouitch' et de 'l'Oasis' (d'après le site du collectif Nébélé)
Le puits du Commandant Cousteau est en fait une escalade au dessus de la galerie 93. C'est un point clé du réseau qui donne accès à toute la partie ouest. Lui font suite la galerie du Blaireau, qui s'enchaîne avec la galerie du Scrouitch, vaste conduit fossile subhorizontal, ancien niveau de base du massif. Cette galerie finit par constituer le sommet d'un méandre de 600 mètres de long et de 40 mètres de haut : le méandre de l'Oasis. Souvent, les deux conduits sont séparés, soit par des planchers de blocs, soit par de la roche en place. L'ensemble se termine en haut sur trémie, et en bas sur deux méandres étroits à suivre. Au passage ont été laissés : - la 'Flemme' au sud, - les 'Tubes' au dessous, - la 'Roume' au nord, ainsi que quelques galeries telles : - la galerie de Noël (conduite forcée ascendante), - la galerie des Spirales (méandre subhorizontal) - les galeries descendantes (tubes colmatés par l'argile).
Description de la 'Flemme' (d'après le site du collectif Nébélé)
Partie très complexe de réseau, constituée d'un enchevêtrement de puits, salles, méandres, galeries, et rivières, jonctionnant en de multiples endroits et grands consommateurs de cordes et d'amarrages. Il n'est pas rare ici de rencontrer des rivières passant au dessus de galeries fossiles, elles mêmes au dessus ...d'autres rivières ! Quelques noms dans cette zone : - méandre rivière et puits Tahiti, - méandre des Cageots, - galerie et rivière de la Turbine (en relation probable avec la perte d'Hagazé), - rivière Suspendue, - salle Groenland, - galerie des Marmites, - puits, salles et rivière de la Flemme (les premiers découverts), - méandre, galerie et puits du Monocle, - puits des Nantais et de l'Illuminé, - puits de la Pêche, - puits Uno, - méandre 49, - salle de l'Accolade et du Feu Kit, - puits Rotshild, - méandre des Bâtons, etc, etc. Certains conduits n'ont même pas de nom, et tout n'est pas encore découvert. La description du secteur est quasiment impossible, il faut le voir pour le croire.
Description des 'Tubes' (d'après le site du collectif Nébélé)
Petit labyrinthe de conduites forcées qui suivent le pendage. Un grand méandre ventilé s'y jette, du fond duquel provient la rivière des Tubes. L'amont de celle-ci est entrecoupé de deux cascades de 18 mètres et 22 mètres, et a été reconnu sur 800 mètres. Il se divise finalement en deux galeries qui mènent à des cotes proches, d'environ +20m, avec une largeur qui devient dans l'une comme dans l'autre très étriquée, et rend les expéditions éprouvantes.
Description de la 'Roume' (d'après le site du collectif Nébélé)
Réseau construit à la fois sur une fracture directrice inclinée et sur le pendage des couches du terrain. Il en résulte cinq niveaux de galeries étagées remontantes, et conduisant à un grand puits-méandre (100 mètres de haut ?) parcouru par une rivière : le ruisseau de Gaïntoua. Une escalade sous cascade de 60 mètres de hauteur a longtemps constitué le terminus. Elle est suivie d'un méandre remontant fortement, étroit et haut, puis d'une nouvelle cascade de 45 mètres menant au toit des calcaires d'Aussurucq et donnant accès à des galeries spacieuses se développant dans les marnes. Explo en cours ....
Planches topographiques (sur le site du collectif Nébélé)
Documents
Bibliography 07/09/2019- * Site web du 'Collectif Nébélé' : nebele.free.fr/ , et en particulier : - Le Collectif et ses recommandations importantes : nebele.free.fr/collectif.htm - Photos : nebele.free.fr/photos.htm - Historique : nebele.free.fr/historique.htm - Descriptif : nebele.free.fr/description/description.htm - Topographie : nebele.free.fr/topographie/topographie.htm * Nathalie VANARA - 1998 - Le karst du massif des Arbailles (Pyrénées occidentales, France). Contrôles tectonique, climatique, hydrogéologique et antropique de la morphogenèse. Thèse de géographie, Université Michel de Montaigne - Bordeaux III. * Le gouffre Nébélé - massif des Arbailles (Aussurucq -Pyrénées Atlantiques) - Spelunca n°77 du 1er trimestre 2000 - pages 23/34
History
La section "Historique" du site du collectif Nébélé (nebele.free.fr/historique.htm), ainsi que sa page d'accueil (nebele.free.fr) indiquent en 2019 : L'entrée, étroite et ébouleuse, s'ouvrit dans un pré sous les roues d'un véhicule agricole. 1972 Chatelain, membre du C.D.S.P, descend aux échelles le puits sous-jacent et signale aux propriétaires une profondeur de 80 mètres. 13 et 14 août 1992 Vingt ans plus tard, les propriétaires indiquent à un groupe de spéléologues l'existence d'un gouffre de 80 mètres dans leur champ. Ceux-ci désobstruent et sécurisent l'entrée. Ils équipent le puits, profond de 40 mètres seulement, et entrevoient une suite possible à la base de ce puits. Avril 1993 Agrandissement des passages et descente de deux puits borgnes sans résultat. La suite est peut-être en face. Août 1993 Plusieurs jours de désobstruction permettent d'atteindre et de descendre le puits du Pendule, point d'accès à l'ensemble des galeries formant le Nébélé. Sont notamment explorés et topographiés la salle et la galerie inférieure du Pendule, la galerie 93, la galerie des Chauves-souris et son puits de 57 mètres, la galerie du Casse-croûte, le début de la rivière des Tubes (arrêt sur rien). Les deux siphons principaux du gouffre sont atteints. On peut considérer que le Collectif Nébélé, fort d'une dizaine de membres, s'est créé à ce moment, bien que son existence n'ait été formalisée que plus tard. A partir de cette date, 35 spéléologues ont participés de façon très active aux explorations, et plus de 65 autres ont profités d'une sortie pour découvrir le gouffre en aidant aux portages ou aux différents travaux. 1993 Une cheminée est escaladée. Elle deviendra l'un des points clé du réseau et prendra le nom de "puits du commandant Cousteau". Au fil des explorations, la galerie du Blaireau située en haut se poursuit par la galerie du Scrouitch qui se termine avec arrêt sur rien à la salle du Camp. Quelques divagations à droite et à gauche nous permettent d'explorer la galerie de Noël et le début de la Roume. Cela n'était pas certain en août, mais les siphons sont actifs, ce qui permet de déterminer lequel est l'aval et lequel est l'amont.. Explo-topo de la galerie du Bain. Arrêt sur la grande salle du Parpaing où une escalade, plus haute que prévu, est commencée. Dans le même secteur, franchissement d'une trémie donnant accès à une grande galerie : "la Grande Faille". Arrêts sur puits ou escalades. 4200 m sont topographiés 1994 Poursuite de la galerie du Scrouitch par une zone ébouleuse (galerie Damoclès), puis par un méandre très haut et étroit : le méandre de l'Oasis. Lors d'un camp souterrain d'été, toute la hauteur de ce méandre (45m) sera explorée et livrera la galerie des Spirales et une galerie supérieure correspondant à l'ancienne conduite forcée sommitale. Poursuite des explos dans la Roume qui totalise cinq niveaux de galeries buttant sur un grand volume vertical arrosé. Poursuite des explos dans les Tubes, et jonction avec la galerie du Scrouitch. L'escalade du Parpaing (38m) est terminée et débouche sur une galerie perchée : la galerie du Parpaing. Arrêt sur nouvelle escalade. Traversée du puits du Casse-croûte qui permet l'accès à la galerie du Sablier. L'année 1994 verra aussi l'aménagement d'une entrée artificielle, plus sûre et mieux placée que l'entrée naturelle qui sera rebouchée. 9800 m sont topographiés au total. 1995 Escalade du puits du Sablier (50m) qui livre le méandre et la galerie des Herses. Ce réseau perché est d'un parcours difficile, et. la recherche du courant d'air nous conduit à de nouvelles escalades terminales (escalade du Jedï). Traversée en vire en haut du P57 : découverte de petits puits parallèles sans grand intérêt. Plongée de reconnaissance dans le siphon amont (80m) et plongée du siphon aval (70m) qui débouche sur 100 mètres d'exondé avant de rencontrer un nouveau siphon. Escalades dans la grande Faille sud : 500m de première dans la galerie des Diaclases. Arrêt sur trémie. De nouvelles escalades, totalisant 60m remontés, ne donnent rien : trémies en plafond partout. Une nouvelle et dernière escalade (25m) jonctionnera avec la galerie du Parpaing. Ce sera le début d'une série d'explorations dans les hauteurs du Parpaing : la galerie des Ammonites sera parcourue en 1995. La suite viendra en 1996. Près du puits du Pendule, un boyau soufflant est désobstrué et permet la découverte de la galerie du Piochou, qui jonctionne avec la base du puits du Pendule. 11300 m sont topographiés au total. 1996 Coloration de la rivière de l'Oasis. Sortie du colorant à la résurgence d'Uthurbietta. Fin de l'escalade du Jedï (25m) à l'extrémité du méandre des Herses, avec arrêt sur trémie soufflante. Cette zone de la cavité, qui n'a pas donné les résultats escomptés, voit son exploration considérée comme terminée. Plongée du siphon amont : ça continue. Topographie du S1 aval et de l'exondé entre S1 et S2. Plongée de reconnaissance du S2. Escalades dans la Galerie de la St Sylvestre, livrant le Puits du Grand Noir dont le fond se superpose avec l'exondé aval, et où l'on entend l'eau par une fissure de quelques centimètres de large. Découverte aussi de la Galerie Etrange qui passe au dessus de la salle du Pendule, et du Puits des Clés jonctionnant avec la tyrolienne. Reprise des explos dans les étages supérieurs du Parpaing : galeries des Fresques, de la Marne, du Boxwork et des Gérontes. Jonction avec la grande Faille par le puits du Théatre. 12400 m sont topographiés au total. 1997 Plongée du siphon amont : 250m parcourus pour une profondeur de -17m. Arrêt sur rien. Escalade du puits Tahiti, à la recherche d'un bruit de cascade entendu en diverses circonstances. La cascade, haute de 20 m, est trouvée après 50 m d'escalade. C'est un peu gras, et l'eau s'enfile dans un méandre tout aussi gras et qualifié d'innommable. Depuis, on a trouvé pire ailleurs. Le méandre Innommable deviendra ainsi le méandre Tahiti, mais ne nous fions pas aux noms idylliques ! Ce méandre Tahiti, donc, débouche sur le puits de la pêche, profond de 50 m (il faut toujours redescendre ce que l'on a remonté, et vice versa). Le puits de la Pêche jonctionne avec l'amont de la rivière de la Flemme et le bas du puits du même nom. Une lucarne dans le puits de la Pêche donne accès à la salle de la Lucarne, prolongée par les puits des Nantais et de l'Illuminé (jonction avec l'aval de la rivière de la Flemme) d'une part, et par un méandre menant au puits Uno (jonction avec la base du puits de la Flemme) d'autre part. Vous êtes perdus ? Nous aussi ! Traversée au dessus du puits de la Flemme (encore lui). En face : deux départs. L'un jonctionne avec les grandes salles de la Flemme, l'autre permet de découvrir une nouvelle salle : la salle Groenland. Au plus évident, un méandre file et s'arrête devant un mur… d'eau ! Nous venons de découvrir la Turbine, cinquième rivière de réseau, en pleine crue. Le lendemain, c'est comme dans les westerns, il y a une grotte derrière la cascade en décrue : le méandre continue… Une autre rivière, dite Suspendue, sera découverte à l'issue d'une escalade à proximité de la Turbine. 16800 m sont topographiés au total. 1998 Retour dans le réseau de la Flemme, moults départs ayant été délaissés. Le méandre des Cageots est découvert. Il permet la jonction entre le puits Uno, le puits de la Flemme, et les Tubes. Issu également du puits Uno, le méandre des 100 000 rasoirs ne jonctionne, pour une fois, avec rien (et c'est heureux). Descente du puits du Monocle (50 m) donnant accès à une zone siphonnante ou cascade, on le sait désormais, la rivière Suspendue. En face, la spacieuse galerie du Monocle est parcourue sur 400 m, avec arrêt sur siphon. Escalades dans la salle Groenland : une de 5 m, jonctionnant par une courte galerie avec le puits des Nantais, et une de 25 m, très surplombante, débouchant sur la galerie des Marmites (c'est gras et bas de plafond) laquelle jonctionne en plafond de la salle de la Lucarne (voir plus haut). Le nombre de jonctions commence à être impressionnant, la topo devient inextricable, et les explorateurs recherchent assidûment mais vainement l'échappatoire qui leur permettra de sortir de cet imbroglio constitué par la Flemme ! De guerre lasse, la Flemme est abandonnée (provisoirement : il reste des courants d'air à pister). Le camp d'été reprend comme objectifs la Faille nord et les siphons avals. Quelques escalades dans la Faille nord ne donneront rien, sauf… la dernière, comme d'habitude, alors que le camp se termine. Remontée de 5 m pour trouver une galerie, suivie d'un puits de 30 m, d'une escalade de 15 m avec re-galerie, et tout au bout 45 m de remontée (classique désormais). Arrêt sur vire plus remontée de 10 m à faire : on voit un plafond de galerie ? Coté siphons, les plongeurs se sont distingués et ont franchi 4 siphons dont 3 nouveaux pour découvrir 500 m d'exondé environ jusqu'au siphon 5. Une grosse conduite forcée arrive dans les plafonds et reste à voir. 18100 m sont topographiés au total. 1999 Recherche d'un shunt pour atteindre la zone exondée aval. C'est presque gagné, mais le gouffre se défend et finalement, ça ne passe pas. Décevant : on aurait bien échangé une, voire deux, des nombreuses jonctions de la Flemme contre celle là ! Pour se remonter le moral, diverses équipes ont tenté leur chance dans quelques escalades, découvrant 50 mètres de galerie par ci, 150 mètres par là, 70 mètres ailleurs et, évidemment, de nouvelles jonctions et de nouvelles possibilités de continuation. 18619 m sont topographiés au total à Pâques 1999. Dimanche 4 août 2014 Ouverture d'une seconde entrée plus en altitude. 2018 Les explorations continuent au gouffre Nébélé,notamment en plongée à l'aval de la galerie de l'éclipse, à la perte Eliot, au HA50, ...
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8.7 | Aphanicé (Gouffre d') [Gouffre d'Aphanize] | 504 | |
18.4 | Lacs (Grotte aux) | ||
18.4 | Cascade (Grotte de la) | ||
18.5 | Mouline (Grotte de la) |
L'origine des noms dans le Nébélé (sur le site du collectif Nébélé)
Ne manquez pas de consulter les 'chroniques' du collectif : nebele.free.fr/chroniques.htm
BTH (07/09/2019)