Berger (Grotte du)
44.894212,5.311115
Location
Coordonnées Lambert III Sud km ? : X=834,920 Y=292,470 Alt : 1520 m Elle se situe à Font d’Urle (Vercors Drômois) La cavité s’ouvre au pied des falaises s'étendant de la Porte d'Urle à l'Infernet et domine le val de Quint. On y accède depuis Font d'Urle en empruntant le chemin carrossable qui mène à la porte d’Urle. L’entrée est pointée sur la carte IGN 3136 ET “ Combe Laval ”. L’accès à la cavité depuis Font d’Urle s’effectue par un chemin carrossable réglementé que l’on trouve au sud-ouest du village en direction de la Porte d’Urle. À celle-ci, emprunter sur la droite le chemin en direction des deux pylônes EDF situés à cinquante mètres. À partir des pylônes, suivre la crête vers l’ouest. Ne pas la franchir avant d’avoir trouvé le sentier qui mène, après une descente, au pied des falaises que l'on suit sur sept cents mètres environ. Par beau temps (rare), nous pouvons apercevoir la commune de Saint-Julien-en-Quint en contrebas et les crêtes d’Ambel face à nous. Avec un peu de discrétion et/ou de bonne heure (ou de bonheur), vous aurez toutes les chances d'observer les chamois en contrebas du sentier. L’entrée de la grotte, en pied de falaise, est marquée par deux arbustes de petite taille. Environ trente minutes de marche depuis Font d'Urle. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Description
Description générale
La cavité comporte actuellement quatre parties distinctes Le réseau d'entrée et la Galerie principale Les galeries annexes Le réseau inférieur dans lequel circule un petit actif, et deux méandres fossiles Le réseau fossile du "Nouveau monde". Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
La zone d'entrée
Il existe deux entrées naturelles pour accéder à la galerie principale. La plus évidente est la première que l’on rencontre en venant de la porte d’Urle. Elle s’ouvre dans une fracture d’un mètre cinquante de haut sur cinquante centimètres de large. La seconde entrée se trouve cinquante mètres plus loin en suivant la falaise, et s’ouvre au profit d’une faille. Le porche d’entrée est assez grand, deux mètres de plafond sur trois mètres de large. L’ouverture se réduit rapidement, une sévère étroiture donne sur la salle d’entrée. Une baume à droite de l’entrée principale a été aménagée pour établir un campement. Il ne fait aucun doute qu’elle ait été en relation avec la cavité. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
De l’entrée à la voûte mouillante
La courte galerie d'entrée ventilée mène à la salle d'entrée jonchée de blocs d’effondrements compactés par de l’argile. En bas à gauche, une étroiture entre les blocs accède à la seconde entrée. Quelques mètres plus loin, en contrebas et sur la gauche également, démarre le réseau des galeries annexes. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Les galeries annexes
C'est un réseau anastomosé de galeries basses entrecoupées de petites salles avec principalement de l’argile au sol. Il n'y a pas de courant d'air. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
La galerie principale
En suivant logiquement la galerie principale, on accède par un passage bas concrétionné à la seconde salle. Suit une remontée calcifiée, puis une troisième petite salle dans laquelle une coulée active de calcite en paroi droite alimente quelques gours et la voûte mouillante (ancien terminus). Des inscriptions des premiers explorateurs peuvent être observées. Un bassin de retenue a été fabriqué avec des bâches, afin de pouvoir y vider le contenu de la voûte mouillante (des seaux sont en place). La voûte mouillante peut être passée à sec en été ; le reste du temps, il faut la vider. En fonction du débit de la coulée de calcite, il peut être irréaliste de vouloir la vider. Pour transvaser l’eau dans le bassin de retenue, il faut compter environ trente minutes à quatre personnes. Il est conseillé de vider entièrement la petite vasque car l’étroiture à l’égyptienne qui suit est sportive à l’allée comme au retour. Il est préférable de laisser un ou deux seaux de l'autre côté (en principe en place). L'étroiture, horizontale puis verticale, conduit à une quatrième salle. La suite est un boyau ventilé, pentu et descendant sur le côté droit de la salle, un peu en hauteur. Suit une petite galerie concrétionnée, puis une chatière qui nous permet de retrouver la galerie principale. La salle suivante est peut-être le plus gros volume de la cavité, elle mesure environ quinze mètres de haut, quatre mètres de largeur, cent mètres de long. Suit un resserrement sous un pont rocheux ; deux possibilités pour le franchir : - Un passage bas facile. - Une vire remontante en rive droite, puis un ressaut de douze mètres. La suite est un chaos de gros blocs calcifiés, comportant une arrivée importante en plafond : “l’escalade à Québec ”. Cette cheminée débouche sur une vire et le passage devient impénétrable. Nicolas Renous note la présence d’un courant d’air, dans un boyau de 0,2 m x 0,3 m. La salle remonte ensuite, toujours dans un chaos de blocs, instables par endroits. Il y a d’autres arrivées en plafond, entre dix et quinze mètres de haut ; les escalades sont à faire. La dernière partie de la salle est très concrétionnée. Une coulée de calcite en rive droite recouvre partiellement les blocs. On observe la formation de gours, draperies, colonnes, fistuleuses. C’est l’endroit de la cavité où peut être observé le concrétionnement le plus varié. Nous arrivons directement sur un carrefour, deux possibilités se présentent… Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Le terminus et le départ des méandres
En haut à droite, la galerie très chaotique se termine sur une salle finale. Un effondrement massif interdit toute continuité et forme une trémie. On note la présence d’un courant d’air faible dans les recoins de la salle. À gauche, une corde en fixe permet d’accéder sur une plate-forme à dix mètres de hauteur. C’est le départ du réseau du Nouveau Monde. Au fond, une trémie de blocs récents, instable, obstrue la totalité de la galerie. En contre bas à gauche, un passage sous une arche nous amène à une petite salle et vers le départ pour le réseau inférieur. Si on revient au carrefour, la deuxième possibilité est une galerie méandriforme qui mène à cette même petite salle. En fait, il s’agit d’une boucle. Cette galerie méandre est creusée en trou de serrure au profit d’une diaclase ; la cavité change de direction ici et devient sud-sud-ouest / nord-nord-est. On entend par endroits un écoulement d’eau ; on peut supposer qu’il s’agit de l’actif du réseau inférieur, creusé dans la même direction. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Le réseau supérieur (Nouveau Monde)
C’est un méandre étroit qui se développe sur environ deux cent cinquante mètres. Il se développe au début à la faveur d’un joint de strate (laminoir) puis, respectant le changement de direction de la cavité, devient un méandre en trou de serrure dans lequel la progression se fait en plafond. À 100 mètres, le réseau est coupé par un amont et un aval de formation plus récente. L'amont butte sur trémie, avec présence de terre et de courant d'air. L'aval est un puits borgne de 18 mètres relativement large, au fond, bouché par des sédiments. À 180 mètres, on rencontre un deuxième puits borgne de 11 mètres. À 230 mètres, le réseau devient trop étroit : c'est l'arrêt topo. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Le méandre actif
On y accède par un passage bas dans une trémie désobstruée, dans la petite salle du fond. Il se développe sur environ deux cent cinquante mètres et comporte un petit actif pérenne, estimé entre un et trois litres/seconde. Le méandre actif est creusé en trou de serrure lui aussi ; on peut lire distinctement trois phases de creusement dans une roche homogène d’un gris bleuté. Il comporte deux affluents en rive droite (on peut suivre l’un d’eux sur une vingtaine de mètres) et se termine sur une trémie en direction de la galerie fossile. D’autres petits affluents, actifs cette fois, parviennent au profit de nombreuses fissures qui recoupent la diaclase. Après deux cents mètres de parcours, l’actif cascade dans un ressaut de quatre mètres et se perd dans une fissure impénétrable. Le méandre continue et devient fossile. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Les méandres fossiles
Nous laissons l’actif se perdre dans une fissure et nous gagnons le méandre fossile. Les parois sont recouvertes de mondmilch, il faut prévoir un passage dans une flaque à mi-bottes. Nous arrivons à un carrefour ; deux possibilités : à gauche une galerie concrétionnée qui réduit très vite, à droite, un méandre sinueux. Dans la galerie de gauche, un puits de cinq mètres permet de suivre le précédent méandre sur une banquette inférieure. On entend un écoulement au fond, peut être l’actif. Dans la branche de droite, parcouru par le courant d'air, le méandre serpente. On note la présence de mondmilch au sol et sur les parois jusqu’à une chatière. Après cette chatière, il s’assèche et se réduit. Au fond, une fourche nous mène, à droite dans une fracture pendant quelques mètres avant de stopper sur une trémie franchie en 1995 (désobstruction à reprendre). On note un fort courant d’air et c'est d'ailleurs à cet endroit que le contact avec la surface à l'aide de deux ARVA (appareil de recherche de victimes d'avalanche) a été établi. À gauche, une petite galerie (suite logique du méandre), se réduit considérablement (laminoir) jusqu'à devenir impénétrable, obstruée par de l’argile. Pas de courant d’air. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
GÉOLOGIE, HYDROGÉOLOGIE, KARSTOLOGIE
A compléter Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Histoire
Il semble que la grotte du Berger soit connue depuis fort longtemps et que les premières explorations furent menées par les habitants du plateau. De nombreuses inscriptions au niveau de la voûte mouillante attestent la visite de plusieurs groupes de personnes. La plupart d’entre elles portent des noms et sont datés de la fin du dix neuvième au début du vingtième siècle. Une autre indication concerne la provenance de ces groupes, s’agissant de Vassieux-en-Vercors principalement. Une fine couche de calcite recouvre les plus anciennes inscriptions ce qui autorise à croire en l’authenticité de ces traces. La grotte du Berger a été étudiée par les Ours de Glandasse et les Cyclopes de 1953 à 1955 et par Christiane Lequatre en 1969. Tous l’ont considérée comme étant à l’origine de la source de Font d’Urle. La voûte mouillante et le resserrement qui suit empêchaient alors toute pénétration profonde. Au cours de l’automne 1972, Alain Gresse, Marcel Meyssonnier et Michel Siméon, en raison de la présence d’un courant d’air au niveau de la voûte mouillante, effectuent plusieurs séances de désobstruction. Ils découvrent environ six cents mètres de galerie. L’orientation de celle-ci et la coloration du ruisseau pérenne en juillet 1973 confirment les suppositions des précédents explorateurs. En 1986, Claude Paradis effectue une escalade de quarante mètres dans la galerie principale ; il découvre une banquette en plafond et stoppe rapidement sur étroiture impénétrable ventilée. En 1993, Yvan Bringard effectue une escalade dans le fond et explore un méandre étroit, arrêt sur rien. En 1995, Nicolas Renous, Yvan Bringard, Marie Morin et un camarade reprennent l’exploration de ce méandre et découvrent deux cent cinquante mètres de mieux. Nicolas Renous et Thierry Krattinger effectuent la topographie et le baptisent "Réseau du Nouveau Monde". En 1995 encore, lors d'un stage initiateur, Nicolas Renous franchit une étroiture ventilée au fond de la branche de droite fossile après le méandre actif. Un A.R.V.A. y est placé : un signal clair est reçu en surface sur l'échelle 8 – 15 d'un ARVA 8000. Au cours de l’automne 2003, et dans le cadre d'une étude de cavité du brevet d'état de spéléologie, Nicolas Renous et Julien Dez topographient avec précision presque l’intégralité de la cavité. Au printemps 2004, toujours dans le cadre de cette étude, un camp est monté dans la baume près de l’entrée. Aidé de cinq camarades, Julien Dez collecte des informations permettant de comprendre le secteur et d’orienter les futures recherches. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Commentaires
BIBLIOGRAPHIE (en 2004)
Topo-guide et carte : - Spéléo sportive dans le Vercors, tome 1 – - Carte IGN 3136 ET intitulé Combe Laval, série top 25 - Carte géomorphologique du Vercors Documentation spécialisée : - Spéléologie – dossiers n°10, quatrième trimestre 1973, Alain Gresse, Marcel Meyssonnier, Michel Siméon - Carte d'hydrogéologie du Vercors, Ph Rousset - Grotte et scialet du Vercors, tome 1 - LSD n°10 - Scialet n°25 - Géologie Bresse Bas Dauphiné, éditions ANDRA et BRGM Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Hypothèse de genèse de la grotte du Berger
La grotte du Berger a connu plusieurs phases de creusement : - Un creusement en régime noyé avec des apports très important d'eau (fin du tertiaire ?). La galerie principale serait un témoin de cette époque : formes générées en régime noyé, épinoyé (coupoles, remplissages), topographie sinueuse de la Grande Galerie. - Des effondrements, une sédimentation et un concrétionnement important, - Une reprise récente du creusement par l'alimentation des eaux glaciaires au Quaternaire : Une première phase de creusement correspondant au réseau du Nouveau Monde, une deuxième phase correspondant entre autres à l'escalade à Québec, aux puits borgnes dans le réseau du Nouveau Monde, au méandre actuel. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
Visite du 16 aout 2025
La voute mouillante est complètement sèche. La grotte vaut surtout par ses beaux volumes, surtout à la fin de la galerie principale, ainsi que par le beau méandre qui suit, avec le petit actif. J'ai visité la galerie principale, le méandre avec l'actif et les réseaux fossiles qui font suite. J'ai aussi grimpé la première corde, dans la grande cheminée : ca ne mène nulle part, arrêt sur étroiture en haut.
Cavités proche
Distance (km) | Nom | Longueur (m) | Profondeur (m) |
---|---|---|---|
0.6 | Murette (Scialet de la) | 735 | 166 |
0.9 | Font d'Urle (Glacière de) | 120 | 40 |
1.6 | Puces (Grotte des) [M11] | ||
1.9 | Anciens (Scialet ou trou des) | 11700 | 327 |
1.9 | Chuats n°2 (Scialet des) [Chuats II] | 49300 | 368 |
2.1 | Chuats n°1 (Scialet des) [Chuats I] | 0 | |
2.1 | Abel (Scialet) | 49300 | 368 |
2.2 | Perchée (Grotte) | 67 | |
2.3 | Fleurs Blanches (Scialet des) | 49300 | 368 |
PERSPECTIVES D'AVENIR (en 2004)
- Insister au fond du réseau du Nouveau Monde. - Effectuer les escalades au final de la grande galerie. - Insister dans la trémie terminale de la grande galerie (escalade, désobstruction). Il y a deux possibilités de traversée : - Dans la branche de gauche fossile du réseau du méandre actif : courant d'air et contact ARVA depuis la surface : continuer la désobstruction ; éventuellement effectuer un repérage magnétique pour entamer une désobstruction par l'extérieur. - Dans le petit réseau amont recoupant le réseau du Nouveau Monde. Source : * Nicolas Renous et Julien Dez "GROTTE DU BERGER – Font d'Urle (26) ", in Les Spéléos Drômois, bulletin du Comité départemental de spéléologie de la Drôme (CDS 26), numéro 15, 2004, pages 7-15 : www.csr-rhonealpes.fr/cds26/wp-content/uploads/sit…
BTH (17/02/2025)