Tonneau du Garrel (Entrée artificielle condamnée du)

Histoire

En 1951 et 1952, le SCM entreprend le déblaiement du trop-plein de la source de Saint-Jean alias source des Sicards (cf. fiche GC n°9 : www.grottocenter.org/html/file_Fr.php?type=change&…) ; mais le SCM est arrêté par l'interdiction du propriétaire. Cette désobstruction est reprise en 1969 par le CLPA à la suite de la coloration de la grotte de l'Ours dont le temps de réapparition rapide (10 m/h) plaidait en faveur d'un réseau important exondé. Un siphon, plongé par les frères Gilles et P. Parrot de 1971 à 1973, donne accès à un réseau important. La première salle est repérée en surface, et le 8 juin 1974, après bien des efforts, une entrée artificielle est ouverte (702,89-171,28 - 193 m ; cf. présente fiche GC n°24783). Elle est située à 15 mètres au nord de la route, 30 mètres après la maison isolée jouxtant un ancien virage corrigé. On trouvera dans Caumont (1979) un historique détaillé de l'exploration du Garrel jusqu'à 1979. En 1982, escalade sur 150 mètres d'une cheminée de 15x15. Nouveaux travaux de topographie du CLPA à partir de 1984. En 1990 une nouvelle entrée dite des Feuilles Mortes (702,76-171,31 - 235 m) est ouverte après report de topographie en surface et repérage aux fumigènes (cf. fiche GC n°24784 : www.grottocenter.org/html/file_Fr.php?type=change&… d'Etudes et de Recherches Spéléologiques et Archéologiques de Montpellier (GERSAM), "L'inventaire du Larzac et de la Séranne", chapitre "53 - Commune de Saint-Jean-de-Buèges" : jfbrun.eu/gersam/stjeanbu.htm. BTH - 14/02/2019